La saucisse purée est le plat réconfortant par excellence qui nous replonge directement en enfance. On vous propose une déclinaison encore plus gourmande à base de saucisse de Toulouse. Vous nous direz des nouvelles de cette poêlée de saucisses et sa purée de pommes de terre !
Quels sont les secrets d’une poêlée réussie ?
Pour bien réussir une poêlée pomme de terre saucisses, il est nécessaire de bien choisir les ingrédients. Les pommes de terre à chair ferme et les saucisses de bonne qualité sont primordiales. Il est préférable qu’elles soient précuites pour réduire le temps de cuisson ! Il vous faudra également bien maitriser la chaleur et chauffer la poêle à feu moyen-élevé avant d’ajouter les ingrédients. Pour finir et ajouter une petite note fraîche à votre plat, on vous conseille les herbes fraîches ! Une belle poignée de persil frais juste avant de servir, c’est un vrai régal !
La recette de poêlée de saucisses et sa purée de pommes de terre
Après le cordon bleu ultra gourmand et réconfortant, on vous présente une nouvelle recette de notre livre Mangez Pour de bon. Cette poêlée de saucisses et sa purée de pommes de terre devraient vous replonger directement en enfance. On vous voit déjà saliver !
Poêlée de saucisses et sa purée de pommes de terre
Ingrédients
- 2 saucisses de Toulouse de la charcuterie Louis Ospital
- 300 g de pommes de terre
- 150 g de champignons
- 150 g de beurre
- 1 c. à s. d’huile d’olive
- 1 gousse d’ail
Instructions
- Rincez et brossez les champignons.
- Emincez-les et faites les revenir avec l’huile d’olive et l’ail épluché et dégermé. Réservez.
- Epluchez les pommes de terre, rincez-les sous l’eau claire et coupez-les en morceaux.
- Disposez-les dans une casserole et couvrez d’eau à hauteur. Salez et faites cuire environ 30 minutes.
- Piquez les pommes de terre à l’aide de la lame de couteau pour vérifier leur cuisson.
- Une fois cuites, retirez-les de l’eau.
- Passez les pommes de terre au tamis, puis faites-les sécher dans une casserole pendant quelques minutes à feu moyen.
- Incorporez-y le beurre froid taillé en morceaux, en fouettant vigoureusement. Laissez au chaud à feu très faible.
- Faites revenir les saucisses de Toulouse dans une poêle chaude sans matière grasse à feu doux. Ajoutez les champignons afin de les réchauffer, puis servir ensemble avec la purée de pommes de terre.
Quelles variantes existe-t-il pour une poêlée gourmande ?
Cuisiner une poêlée, c’est être sûr de faire plaisir aux petits comme aux grands sans prise de tête. Avec les bons produits de nos producteurs, à vous les repas variés et gourmands. Pour aller encore plus loin et varier cette poêlée, voici quelques variantes qui devraient vous plaire.
- Poêlée méditerranéenne : utilisez des olives, des herbes méditerranéennes comme le basilic et l’origan. De la feta, ainsi que des tomates séchées, vous donneront l’impression d’être directement au bord de la Méditerranée.
- Poêlée de patates douces : utilisez des patates douces au lieu de pommes de terre pour une poêlée sucrée et salée. Une jolie variante à tester sans plus attendre.
- Sauce crémeuse : ajoutez une sauce à base de crème fraîche, ou bien de moutarde, pour avoir une poêlée plus crémeuse et délicieuse. Il ne vous reste plus qu’à toutes les tester !
A propos de la Charcuterie Louis Ospital
J’ai eu la chance de naître dans une famille qui a la valeur du travail et l’amour du métier. Mes grands-parents étaient paysans, ils m’ont transmis le goût des bons produits, l’amour du travail bien fait”. Eric Ospital.
Charcuterie familiale créée par les parents d’Eric Ospital, Louis et Yvonne, en 1971, dans leur village d’Hasparren, au cœur verdoyant du Pays-Basque. En 1985, Louis Ospital avait une intuition visionnaire, puisqu’avant la crise sanitaire de la vache folle, les polémiques sur les OGM ou l’élevage intensif, il comprend que l’excellence d’un produit passe par la minutie d’un artisanat respectueux de son écosystème. Cela le conduira à créer le label Ibaiona – la “bonne source” -, devenu depuis Ibaiama – “la source mère” avec deux autres charcutiers. Le trio élabore ainsi une charte de qualité drastique, en partant de l’évidence qu'”il n’y a pas de bon jambon sans bon cochon”.
C’est pourquoi, ces cochons sont exclusivement élevés au Pays-Basque sans antibiotiques, nourris aux céréales sans OGM (blé, maïs, orge), en semi-liberté, jusqu’à atteindre un poids d’au moins 180 kilos, entre 9 et 12 mois. En échange de l’application de ces contraintes, les créateurs du label se sont engagés, auprès du paysan, à payer justement le fruit de son travail, créant ainsi le cercle vertueux d’une micro-économie encourageant le haut de gamme. Cette matière première en main, les salaisonniers peaufinent à leur tour ce jambon d’exception en appliquant d’autres règles draconiennes : salage à la main au sel sec de l’Adour, séchage à l’air libre, sans régulation thermique, pour un affinage durant 22 mois, permettant à la chair harmonieusement persillée d’obtenir le moelleux, la robe pâle, la saveur “noisette” caractéristiques de l’Ibaiama.
Based on 2 Review(s)
Ca a l’air délicieux, j’ai hâte d’essayer ça ! Pour les amateurs de piquant, une pincée ou deux de piment de cayenne se marie à merveille à la purée.
Bonjour Aurélien,
Et surtout merci pour ce petit truc en plus qui devrait faire toute la différence ! On a hâte d’essayer.
Bonne journée 🙂
Julie